Vous pouvez contribuer simplement à Wikibéral. Pour cela, demandez un compte à adminwiki@liberaux.org. N'hésitez pas !


Friedrich von Wieser

De Wikiberal
(Redirigé depuis Friedrich Wieser)
Aller à la navigation Aller à la recherche
Friedrich von Wieser
Économiste

Dates 1851 - 1926
Friedrich von Wieser
Tendance école autrichienne d'économie
Nationalité Autriche Autriche
Articles internes Autres articles sur Friedrich von Wieser

Citation
'Interwikis sur Friedrich von Wieser'

Friedrich Freiherr von Wieser ou Friedrich von Wieser, né le 10 juillet 1851 et mort le {{22 juillet]] 1926, est un sociologue et économiste autrichien.

Biographie

De formation sociologue et juriste, c'est la lecture de Herbert Spencer, "Introduction à l'étude de la sociologie" qui lui fait porter son intérêt sur l'économie. Il obtient sa thèse en 1883 à l'université de Vienne. Et, il devient un membre éminent de l'école autrichienne d'économie fondée par Carl Menger avec son collègue, ami d'enfance et beau-frère Eugen von Böhm-Bawerk.

Friedrich Wieser dispose d'un poste d'enseignant d'économie à l'université de Vienne et de Prague (1889). En 1903, il succède à Carl Menger à l'université de Vienne. Il compte parmi ses étudiants de nombreux talents dont Joseph Schumpeter, Ludwig von Mises etFriedrich Hayek. Il convie ce dernier à rencontrer Ludwig von Mises pour un poste d'économiste à la chambre de commerce, une fois qu'il aura passé ses examens de doctorat.

Les contributions de Friedrich Wieser à la théorie autrichienne sont double : la théorie de l'imputation et la théorie du coût alternatif. Ses analyses se retrouvent dans deux ouvrages majeurs : Natural Value (1889) et Social Economics (1914) qui détaillent la doctrine du coût alternatif.

Travaux

La théorie de l'imputation

Selon la théorie de l'imputation, les biens d'ordre supérieur n'ont pas leur propre demande, mais une demande imputée. Ces biens sont utiles pour produire certains biens de consommation, donc la demande de biens de premier ordre. C'est ce qui détermine la demande de biens d'ordre supérieur et, par conséquent, sa valorisation est imputée. Friedrich Wieser affirme que les coûts ne déterminent pas les prix, mais au contraire, ce sont les prix qui déterminent les coûts. Par exemple, le prix du pétrole ne découle pas d'une demande et d'une offre spécifiques de pétrole, mais répond plutôt au besoin d'utiliser le pétrole pour produire des biens finaux (de consommation) tels que l'essence, le diesel, les lubrifiants, etc. , le plastique et une foule de marchandises qui nécessitent du pétrole comme matière première. Pour cette raison, le prix du pétrole dépend de ces multiples besoins. Si ces besoins disparaissent soudainement, alors la demande de pétrole disparaîtra et son prix chutera, et pourrait éventuellement disparaître. Par conséquent, les biens d'ordre supérieur (qui sont les facteurs de production) nécessitent l'existence de biens de consommation pour leur évaluation.

Dans la mesure où les biens de consommation sont nécessaires, les facteurs de production sont des éléments nécessaires de cette production. Leur valeur est étroitement liée à la demande du bien de consommation final. Selon cette façon de voir la réalité économique, ce ne sont pas les coûts qui déterminent le niveau des prix, mais plutôt ce sont les prix des biens finaux qui déterminent l'intensité avec laquelle les facteurs de production sont utilisés sur ce marché, et donc déterminent les coûts de production. Par conséquent, la théorie de l'imputation explique que les contrôles des prix par l'État sont inutiles, car les prix n'obéissent pas à la structure des coûts des entreprises.

La théorie du leadership entrepreneurial chez Friedrich Wieser

Bien que le comportement individuel pousse l'économie d'aller de l'avant, pour Friedrich Wieser, une personne moyenne (comme tout le monde) n'est pas susceptible d'amorcer un changement. Le comportement d'un être humain est le résultat d'une délibération et d'une intention conscientes. Or, l'homme est "une créature de son époque et de son environnement", il subit l'influence de sa nation, de sa classe sociale ou de son métier. Par conséquent, précise Friedrich Wieser, les pouvoirs, les impulsions et l'égoïsme personnels sont dominés par les pouvoirs sociaux. La motivation intrinsèque d'un être humain à se comporter comme leader va dépendre de son environnement et de sa culture. Le leader se met en marche par une exigence qui lui est soumise par une insatisfaction de son niveau de vie comparativement à celle des autres. "Fondamentalement, tout homme a besoin à ce que le niveau de vie de son cercle l'oblige à exiger"[1]. Ainsi, les leaders, compte tenu de la nature humaine, sont inévitables et ils sont nécessaires pour que les changements se produisent, et l'entrepreneur est un tel leader.

Friedrich Wieser ajoute un élément supplémentaire à sa théorie du leadership entrepreneurial. Il montre que l'évolution des marchés se produit grâce à l'entrée d'autres leaders entrepreneuriaux dans l'intermédiation des échanges. Les marchés intermédiaires émergent quand certains hommes brillants introduisent un tiers dans le commerce. Et, ils le font car ils considèrent que cela leur est profitable. Alors, dans une économie ouverte, où les leaders entrepreneuriaux sont libres d'agir, de plus en plus de personnes utilisent ce processus, ce qui fonde et consolide le réseau du marché pour en faire une institution.

Ainsi, l'institution du marché ne provient pas d'une délibération consciente, mais des conséquences imprévues des décisions individuelles: "Ni au début ni plus tard, les leaders n'ont pensé à une institution sociale. Leurs souhaits se limitaient à des objectifs beaucoup plus petits et plus proches. L'énorme influence de la pratique de masse qui a grandi s'est étendue pour donner un résultat final qui va bien au-delà de leurs attentes"[2]. C'est dans ce sens où le leadership entrepreneurial mène à un leadership institutionnel. Mais, l'entrepreneur wieserien n'est pas un entrepreneur institutionnel comme le conviennent certains auteurs de la théorie des organisations, dans le sens où il ne vise pas à créer ou à modifier une institution. Cependant, son action, suivie par des milliers d'autres leaders entrepreneuriaux, crée ou modifie des institutions. L'économie est ainsi coordonnée par les institutions sociales, telles que le marché, qui évolue au fur et à mesure que les comportements individuels se répètent au fil du temps et qu'ils se traduisent par des schèmes de comportements anticipés ou attendus.

Importance de l'analyse des interactions sociales dans l'économie nationale

L'économie nationale ne peut être comprise uniquement par le biais d'analyses économiques traditionnelles axées sur les facteurs individuels et les mécanismes de marché. Friedrich Wieser a souligné l'importance des interactions sociales pour comprendre le fonctionnement global de l'économie d'un pays. Les interactions sociales, telles qu'il les désigne, comprennent les échanges économiques, les relations commerciales et les normes sociales. Elles jouent un rôle crucial dans la dynamique économique d'une nation. Comprendre ces interactions permet de saisir les mécanismes sous-jacents qui influencent les décisions économiques individuelles et collectives.

L'analyse des interactions sociales dans l'économie nationale offre également des perspectives plus larges sur les aspects culturels, politiques et institutionnels qui façonnent les comportements économiques. Cela permet de prendre en compte des facteurs sociaux et humains souvent négligés dans les modèles économiques traditionnels.

Compréhension des interactions sociales selon Wieser

Pour Friedrich Wieser, les interactions sociales sont au cœur de l'économie nationale. Il considère que l'économie ne peut être réduite à de simples échanges de biens et de services entre individus, mais doit être appréhendée dans un contexte plus large, englobant les relations sociales et les institutions qui les encadrent.

1. Les individus comme acteurs sociaux

Selon Wieser, les individus ne sont pas des acteurs économiques isolés, mais font partie d'un réseau complexe de relations sociales. Leurs comportements économiques sont influencés par leurs interactions avec les autres membres de la société, que ce soit au niveau local, régional ou national. Les relations sociales peuvent prendre différentes formes, telles que les liens familiaux, les relations de travail, les partenariats commerciaux, etc.

Wieser souligne l'importance de prendre en compte ces interactions dans l'analyse économique, car elles influencent les décisions des individus, les incitations qu'ils reçoivent et les normes sociales auxquelles ils se conforment. Les interactions sociales façonnent les comportements économiques en créant des attentes, des obligations et des contraintes qui vont au-delà des seules considérations économiques.

2. L'influence des interactions sur les comportements économiques

Les interactions sociales ont un impact significatif sur les comportements économiques des individus. Les échanges commerciaux, par exemple, sont facilités par des réseaux sociaux et des relations de confiance établies au fil du temps. Les individus sont susceptibles de favoriser les transactions avec des partenaires qu'ils connaissent et en qui ils ont confiance, ce qui crée des réseaux économiques informels.

De plus, les normes sociales et les valeurs partagées au sein d'une société influencent les décisions économiques. Par exemple, les attitudes à l'égard de l'épargne, de la consommation, de l'entrepreneuriat et de la responsabilité sociale des entreprises sont façonnées par les normes sociales et les attentes de la communauté.

Wieser souligne également l'importance des institutions sociales dans la formation des comportements économiques. Les règles, les lois, les conventions et les normes qui régissent les interactions sociales et économiques fournissent un cadre d'action aux individus et influencent leurs choix économiques.

En comprenant ces interactions sociales et en les intégrant dans l'analyse économique, on peut obtenir une vision plus complète et réaliste de l'économie nationale. Cette approche met en évidence l'interdépendance des acteurs économiques et souligne l'importance des relations sociales pour la compréhension du fonctionnement économique dans son ensemble.

La confiance et les normes sociales dans l'économie nationale

L'économie nationale est un domaine complexe où les interactions sociales jouent un rôle crucial. Comprendre ces interactions et leur impact sur les comportements économiques est essentiel pour une analyse approfondie de l'économie dans son ensemble. Friedrich Wieser a contribué de manière significative à cette compréhension en mettant en évidence l'importance des interactions sociales dans l'économie nationale. En explorant les concepts clés de la confiance et des normes sociales dans le fonctionnement de l'économie, nous serons en mesure de mieux appréhender les mécanismes qui sous-tendent les comportements économiques et de saisir l'importance de la confiance et des normes sociales dans le tissu économique d'une nation.

A. Rôle de la confiance dans les échanges économiques

Lorsque la confiance est présente, les coûts de transaction sont réduits, car il est moins nécessaire de mettre en place des mécanismes de contrôle et de surveillance. Les individus sont plus enclins à honorer leurs engagements, ce qui permet de renforcer les relations à long terme et de favoriser la stabilité économique.

1. L'importance de la confiance dans les relations commerciales

Selon Friedrich Wieser, la confiance joue un rôle essentiel dans les échanges économiques au sein de l'économie nationale. La confiance est un élément fondamental qui facilite les transactions commerciales entre les individus. Lorsqu'il y a confiance mutuelle entre les parties, les risques liés aux échanges sont réduits, ce qui encourage les transactions et favorise le développement de relations commerciales durables.

2. Effets de la confiance sur les transactions économiques

La confiance a des effets positifs sur les transactions économiques. Lorsque les individus ont confiance en leurs partenaires commerciaux, ils sont plus enclins à s'engager dans des échanges fructueux, à prendre des risques calculés et à coopérer de manière efficace. La confiance facilite la résolution des conflits et permet une meilleure coordination des activités économiques.

B. L'impact des normes sociales sur l'économie nationale

Dans le fonctionnement de l'économie nationale, la confiance et les normes sociales jouent un rôle crucial. La confiance est un élément clé qui facilite les échanges commerciaux et favorise des relations durables entre les acteurs économiques. De leur côté, les normes sociales agissent comme des régulateurs des comportements économiques en établissant des attentes et des standards de conduite au sein de la société. En comprenant l'importance de la confiance et des normes sociales, nous pouvons mieux appréhender les mécanismes qui sous-tendent les interactions économiques et comprendre comment ils influencent les pratiques commerciales et les décisions des individus.

1. Les normes sociales comme régulateurs des comportements économiques

Les normes sociales, qui sont les règles informelles qui régissent les comportements au sein d'une société, jouent un rôle important dans l'économie nationale. Elles agissent comme des régulateurs des comportements économiques en influençant les actions et les décisions des individus. Les normes sociales établissent des attentes et des standards de comportement qui orientent les choix économiques des individus.

2. L'influence des normes sur les pratiques commerciales

Les normes sociales influencent également les pratiques commerciales au sein de l'économie nationale. Par exemple, certaines normes peuvent favoriser la transparence, l'honnêteté et l'équité dans les transactions commerciales, ce qui contribue à établir un environnement commercial sain et confiant. De même, les normes sociales peuvent promouvoir la responsabilité sociale des entreprises, en encourageant les pratiques durables et éthiques.

Les normes sociales ont un impact sur la manière dont les entreprises opèrent, les relations qu'elles entretiennent avec leurs clients et leurs employés, ainsi que sur leur réputation et leur légitimité dans la société. En comprenant ces normes sociales et en les intégrant dans l'analyse économique, il est possible d'appréhender de manière plus complète et réaliste le fonctionnement de l'économie nationale.

Informations complémentaires

Notes et références

  1. Friedrich von Wieser, 1914, "Social economics", New York: Adelphi, (1927) p159
  2. Friedrich von Wieser, 1914, "Social economics", New York: Adelphi, (1927) p115

Publications

{{Boîte déroulante|titre=Cliquer pour dérouler|contenu=

  • 1876, Über das Verhältnis der Kosten zum Wert [Sur la relation du coût sur la valeur],
    • Publié en 1929, In: Friedrich Hayek, dir., Tübingen: Mohr, J.C.B., Friedrich Wieser: Gesammelte Abhandlungen, pp377-404
  • 1884, "Über den Ursprung und die Hauptgesetze des wirtschaftlichen Werthes" [Sur l'origine et les lois principales de la valeur économique], A. Hölder, Vienna
    • Nouvelle édition fac simile en 1999,Schäffer Poeschel
    • Nouvelle édition fac simile en 2004, Verlag: Adamant Media Corporation
  • 1889, "Der natürliche Werth" [La valeur naturelle], A. Hölder, Vienna
    • Traduction anglaise en 1893, Natural Value, London: Macmillan & Company
    • Traduction anglaise en 1930, Londres, Macmillan
      • Reprise en 1971, In: ‘Reprints of Economic Classics’, New York: Augustus M. Kelley Publishers
    • Nouvelle édition en allemand en 1968, Frankfurt: Sauer and Auvermann
  • 1891, "The Austrian school and the theory of value", Economic Journal, Vol 1, n°1, pp108-121
    • Repris en 1990, "The Austrian school and the theory of value", In: Stephen Littlechild, dir., "Austrian economics. History and methodology", Vol I, Aldershot: Edward Elgar, pp205-218
  • 1892, The Theory of Value [A Reply to Professor Macvane], Annals of the American Academy of Political and Social Science, Vol. 2, Mar., pp24-52
  • 1893, "Resumption of Specie Payments in Austria-Hungary", Journal of Political Economy, Vol 1, n°3, Jun., pp380-405
  • 1894,
    • a. "Boehm-Bawerk", In: R. H. Inglis Palgrave, dir., "Dictionary of Political Economy", London: Macmillan & Co., Vol I, pp825-826
      • Repris en 1990, "Boehm-Bawerk", In: Stephen Littlechild, dir., "Austrian economics. History and methodology", Vol I, Aldershot: Edward Elgar, pp58-59
    • b. "Austrian School of Economics", In: R. H. Inglis Palgrave, dir., Dictionary of Political Economy, London : Macmillan, Vol. 1, p73
      • Repris en 1990, "Austrian School of Economics", In: Stephen Littlechild, dir., "Austrian economics. History and methodology", Vol. I, Aldershot: Edward Elgar, pp3-4
  • 1901, Die Ergebnisse und die Aussichten der Personaleinkommensteuer in Osterreich, Leipzig
    • Les résultats et les perspectives de l'impôt sur le revenu personnel en Autriche
  • 1904, Der Geldwert und seine geschichtliche Veranderungen, Zeitschrift fur Volkswirtschaft, Sozialpolitik und Verwaltung 13
  • 1907, Arma virumque cano,
    • Repris en 1929, In: Friedrich Hayek, dir., Friedrich Wieser: Gesammelte Abhandlungen. Mit einer biographischen Einleitung herausgegeben, Tubingen, J.C.B.Mohr (Paul Siebeck), pp335-345
  • 1909, Introduction au livre du Professeur W. Mildschuh, Mietzinse und Bodenwerte in Prag, Wiener Staatswissenschaftliche Studien (Vienna and Leipzig: Carl Deuticke, Vol. IX, n°1
    • Impression dans un numéro séparé
    • Repris en 1929, In: Gesammelte Abhandlungen, Friedrich Hayek, dir., Tubingen: J. C. B. Mohr-Paul Siebeck, pp126-163
    • Traduit en anglais en 1960, The Theory of Urban Ground Rent, In: Essays in European Economic Thought, Louise Sommer, dir., Princeton: D. Van Nostrand Co., Inc., pp39-80
  • 1911, "Das Wesen und der Hauptinhalt der theoretischen Nationalökonomie. Kritische Glossen" ("La valeur et le contenu principal de la théorie économique. Commentaires critiques"), commentaire du livre de Joseph Schumpeter, "Das Wesen und der Hauptinhalt der theoretischen Nationalökonomie", Jahrbuch für Gesetzgebung, Verwaltung und Volkswirtschaft im Deutschen Reich, Vol 35, n°2, pp395–417
    • Repris en 1929, In: Friedrich Hayek, dir., "Friedrich Wieser: Gesammelte Abhandlungen. Mit einer biographischen Einleitung herausgegeben", Tubingen, J.C.B.Mohr (Paul Siebeck), pp10-34
  • 1914, "Theorie der Gesellschaftlichen Wirtschaft" [Théorie de l'économie sociale], In: Karl Bücher et al., Grundriss der Sozialökonomik. I. Abteilung: Wirtschaft und Wirtschaftswissenschaft, Tübingen: Verlag von J. C. B. Mohr, pp125-444
    • Seconde édition en 1924, Tübingen: Mohr
    • Nouvelle édition en 1985, Keip
    • Traduction anglaise en 1927, Social Economics. New York: Adelphi Co
      • Reprise en 1967, In: ‘Reprints of Economic Classics’, New York: Augustus M. Kelley Publishers
  • 1919, "Österreichs Ende" (La fin de l'Autriche), Ullstein, Berlin
  • 1921, "Karl Menger: Nachruf" ("Karl Menger : nécrologie")
    • Repris en 1929, In: Friedrich A. Hayek, dir., "Friedrich Freiherr von Wieser: Gesammelte Abhandlungen", Tübingen: Mohr, pp122-125
  • 1923, "Karl Menger",
    • Repris en 1929, In: Friedrich A. Hayek, dir., "Friedrich Freiherr von Wieser: Gesammelte Abhandlungen", Tübingen: Mohr, pp110-121
  • 1926, "Das Gesetz der Macht", (La loi du Pouvoir), Vienna: Julius Springer
    • Traduction anglaise en 1983 par W. E. Khun, The Law of Power. avec une introduction de W. J. Samuels, Bureau of Business Research, University of Nebraska-Lincoln
  • 1929, "Der Geldwert und seine geschichtlichen Veränderungen" ("La valeur monétaire et ses changements historiques"), In: Friedrich A. von Hayek, dir., Friedrich von Wieser: Gesammelte Abhandlungen, Tübingen, pp164–192 (Conférence inaugurale le 26 octobre 1903 à l'Université de Vienne)

Littérature secondaire

Pour voir les publications qui ont un lien d'étude, d'analyse ou de recherche avec les travaux et la pensée de Friedrich von Wieser : Friedrich von Wieser (Littérature secondaire)

Liens externes


Adam Smith.jpg Accédez d'un seul coup d’œil au portail économie.