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Jeffrey Miron

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Jeff Miron, de son nom complet, Jeffrey Alan Miron, né le 31 janvier 1957 à Detroit, dans le Michigan, est un économiste américain connu pour son engagement envers le libéralisme. Il a obtenu sa licence (B.A. magna cum laude) au Swarthmore College en 1979, démontrant ainsi un haut niveau d'excellence académique. Il a ensuite poursuivi ses études supérieures et a obtenu un doctorat (Ph.D.) en économie au Massachusetts Institute of Technology (MIT) en 1984. Actuellement, il enseigne à l'Université de Harvard en tant que maître de conférences principal et directeur des études de premier cycle au sein du département d'économie de Harvard. Il a également occupé le poste de président du département d'économie à l'Université de Boston de 1992 à 1998. En parallèle à son enseignement, il est le directeur des études sur la politique économique du Cato Institute.

Positions et convictions libérales

Opposition au sauvetage financier de 2007-2008

L'opposition de Jeffrey Miron au plan de sauvetage financier de 2007-2008 témoigne de son engagement envers les principes fondamentaux du libertarianisme économique. La crise financière qui a éclaté à cette époque a entraîné des difficultés économiques majeures pour de nombreuses entreprises, notamment dans le secteur financier. Face à cette crise, le gouvernement fédéral américain a élaboré un plan de sauvetage visant à stabiliser l'économie en apportant un soutien financier direct aux entreprises en difficulté.

Cependant, Jeffrey Miron s'est opposé à cette approche interventionniste du gouvernement. Sa position repose sur plusieurs principes clés du libertarianisme, notamment la conviction que les marchés devraient fonctionner sans une ingérence excessive de l'État. Plutôt que de soutenir un renflouement gouvernemental, Miron a plaidé en faveur de la faillite des entreprises en difficulté.

  • . Principe de responsabilité individuelle. Jeff Miron soutient que les entreprises qui prennent des risques excessifs et font face à des difficultés financières doivent assumer les conséquences de leurs propres actions. Plutôt que de bénéficier d'une aide gouvernementale, elles doivent faire face à la possibilité de la faillite, ce qui, selon lui, est une partie naturelle du fonctionnement du marché.
  • . Minimisation de l'intervention gouvernementale. En tant que défenseur du libéralisme, Jeff Miron est en faveur de la minimisation de l'intervention gouvernementale dans l'économie. Il considère que les mécanismes du marché sont plus efficaces pour allouer les ressources et encourager la croissance économique sans une implication excessive de l'État.
  • . Inquiétudes quant aux distorsions du marché. Jeff Miron craint que les interventions gouvernementales massives, telles que les plans de sauvetage, créent des distorsions sur le marché en favorisant certaines entreprises au détriment d'autres. Cela peut entraîner des conséquences économiques imprévisibles et un déséquilibre dans la concurrence.

En résumé, l'opposition de Jeffrey Miron au plan de sauvetage financier de 2007-2008 découle de sa conviction profonde envers les principes du libéralisme, mettant l'accent sur la responsabilité individuelle, la minimisation de l'intervention gouvernementale et la confiance dans les mécanismes du marché pour résoudre les problèmes économiques.

Réformes pour la reprise économique

Face à la crise financière de 2007-2008, Jeffrey Miron a élaboré un ensemble de réformes politiques qu'il considérait comme essentielles pour stimuler la reprise économique aux États-Unis. Ces réformes reflètent son engagement envers les principes du libéralisme et sa conviction que des mesures spécifiques étaient nécessaires pour restaurer la stabilité économique tout en préservant la liberté individuelle et en limitant l'intervention gouvernementale.

  • . Réduction des prestations sociales. Jeff Miron a préconisé la réduction des prestations sociales comme l'une des réformes clés pour stimuler l'économie. Sa position repose sur l'idée que la réduction des dépenses gouvernementales, en particulier dans le domaine des prestations sociales, permettrait de réduire le fardeau financier, libérant ainsi des ressources pour d'autres initiatives économiques. Il soutient probablement que la responsabilité individuelle devrait prendre le pas sur la dépendance aux programmes sociaux, encourageant ainsi l'autonomie et l'efficacité du marché.
  • . Limitation des régulations. Dans le cadre de ses propositions de réforme, Jeff Miron a plaidé en faveur d'une limitation des régulations. Selon lui, un environnement économique moins réglementé favoriserait l'innovation, la croissance et la création d'emplois. Il considère probablement que les régulations excessives peuvent entraver la flexibilité des entreprises, décourager l'investissement et freiner la dynamique du marché. En limitant les régulations, Miron cherche à créer un environnement plus propice à l'activité économique.
  • . Remplacement du code fiscal par un impôt à taux unique sur la consommation. Une autre proposition majeure de Miron consiste à remplacer le code fiscal existant par un impôt à taux unique sur la consommation. Cette approche fiscale repose sur le principe de l'équité et de la simplicité. Un impôt à taux unique sur la consommation éliminerait les distorsions fiscales, simplifierait le système et pourrait stimuler la consommation, favorisant ainsi la croissance économique. Miron soutient probablement que cette approche fiscale réduirait également les incitations à l'évasion fiscale.

En résumé, les réformes proposées par Jeffrey Miron visent à créer un environnement économique plus libre, favorisant la responsabilité individuelle, l'innovation et la croissance. Elles soulignent son engagement envers les principes du libertarianisme économique et son désir de voir un rôle gouvernemental limité dans la vie économique.

Critique de l'Obamacare

La critique de Jeffrey Miron à l'égard de l'Obamacare reflète son point de vue fondamental selon lequel l'intervention gouvernementale dans le secteur de la santé devrait être limitée pour garantir une économie de marché plus efficace et des soins de santé plus accessibles. Ses objections à l'Affordable Care Act (ACA), également connu sous le nom d'Obamacare, peuvent être expliquées à travers plusieurs aspects clés.

  • . Irréalisme économique. Jeff Miron soutient que l'Obamacare est économiquement irréalisable. Cette critique peut découler de l'opinion selon laquelle les dispositions de la loi, telles que l'expansion de la couverture maladie et la protection des consommateurs, peuvent entraîner des coûts considérables pour le gouvernement et le contribuable. Il pourrait craindre que l'extension des garanties et des subventions gouvernementales ne génère des charges financières insoutenables à long terme.
  • . Augmentation du déficit. L'une des préoccupations majeures de Jeff Miron est l'impact présumé de l'Obamacare sur le déficit américain. Il craint probablement que les coûts associés à la mise en œuvre de cette loi ne contribuent à creuser le déficit budgétaire du gouvernement. Pour lui, cela irait à l'encontre des principes économiques fondamentaux qui préconisent une gestion fiscale responsable.
  • . Diminution de l'intervention gouvernementale. La position de Jeff Miron s'inscrit dans sa vision plus large de réduire l'intervention gouvernementale dans le secteur de la santé. Il est probablement d'avis que la régulation excessive peut entraîner des inefficacités, décourager l'innovation et conduire à une augmentation des coûts. Plutôt que de compter sur des mesures gouvernementales massives, il peut favoriser une approche axée sur le marché, mettant en avant la concurrence et la responsabilité individuelle comme moteurs de l'amélioration des soins de santé.
  • . Réduction des coûts par la limitation de l'intervention. Jeff Miron pourrait soutenir que la diminution de l'intervention gouvernementale dans le secteur de la santé pourrait contribuer à réduire les coûts globaux des soins de santé. Une approche de marché plus libre, selon lui, encouragerait la concurrence entre les prestataires de soins de santé, incitant à l'efficacité et à l'innovation, ce qui, à terme, se traduirait par une baisse des coûts pour les consommateurs.

En somme, la critique de Jeffrey Miron à l'égard de l'Obamacare repose sur des préoccupations économiques et budgétaires, ainsi que sur une vision plus large du rôle du gouvernement dans la prestation des soins de santé. Ses propositions visent à promouvoir une approche plus libérale, mettant l'accent sur la responsabilité individuelle et la concurrence pour améliorer l'efficacité et l'accessibilité des soins de santé.

Légalisation de toutes les drogues

La position de Jeffrey Miron en faveur de la légalisation de toutes les drogues est ancrée dans une approche libertarienne qui met l'accent sur la liberté individuelle, la responsabilité personnelle, et une vision pragmatique des politiques antidrogue. Ses arguments en faveur de la légalisation reposent sur plusieurs considérations clés.

  • . Liberté Individuelle. Jeff Miron défend la liberté individuelle comme l'un des principes fondamentaux de son approche envers la légalisation des drogues. Il soutient que les adultes devraient avoir le droit de prendre des décisions concernant leur propre corps, y compris le choix de consommer des substances psychoactives, tant que cela ne porte pas atteinte aux droits des autres.
  • . Responsabilité Personnelle. Sa position en faveur de la légalisation est également liée à la notion de responsabilité personnelle. Miron estime que les individus devraient être responsables de leurs propres actions, y compris celles liées à la consommation de drogues. Plutôt que de criminaliser la consommation, il préconise un système dans lequel les individus sont tenus responsables de leurs actes, mais pas criminalisés pour des choix personnels qui ne causent pas de préjudice direct à autrui.
  • . Réduction de la Criminalité et de la Violence. En étudiant les conséquences de la criminalisation des drogues, Miron a probablement constaté que cette approche entraîne souvent une augmentation de la criminalité et de la violence. La légalisation, selon lui, pourrait contribuer à réduire le marché noir des drogues, éliminant ainsi une source majeure de financement pour les activités criminelles et diminuant les conflits liés au contrôle du trafic de drogue.
  • . Réallocation des Ressources. Jeff Miron pourrait également avancer l'argument selon lequel la légalisation permettrait de réallouer les ressources publiques vers des priorités plus importantes. En mettant fin à la lutte contre la consommation de drogues par des moyens répressifs, les ressources policières et judiciaires pourraient être redirigées vers des initiatives plus productives, telles que la prévention, le traitement et l'éducation.
  • . Régulation et Contrôle de la Qualité. En plaidant pour la légalisation, Jeff Miron soutient que la régulation légale des drogues permettrait un meilleur contrôle de la qualité des substances consommées. Cela pourrait réduire les risques liés à la consommation de drogues contaminées ou potentiellement dangereuses, améliorant ainsi la sécurité des consommateurs.

En résumé, la position de Jeffrey Miron en faveur de la légalisation de toutes les drogues repose sur des principes libertariens, mettant l'accent sur la liberté individuelle, la responsabilité personnelle, la réduction de la criminalité, et la possibilité de réallouer les ressources publiques de manière plus efficace. Cette approche vise à transformer la politique antidrogue vers une perspective plus axée sur la santé publique et la responsabilité individuelle.

Soutien aux frontières ouvertes

Le soutien de Jeffrey Miron aux frontières ouvertes reflète sa vision libertarienne qui valorise la libre circulation des individus et s'oppose aux restrictions excessives imposées à l'immigration. Ses arguments en faveur des frontières ouvertes reposent sur plusieurs principes clés.

  • . Liberté de Mouvement. Jeff Miron considère probablement que la liberté de mouvement est un droit fondamental. Il soutient que les individus devraient avoir la possibilité de se déplacer librement à travers les frontières sans être soumis à des restrictions gouvernementales excessives. Cela découle de son engagement envers la liberté individuelle et de sa conviction que les individus ont le droit de choisir où ils veulent vivre et travailler.
  • . Avantages Économiques. Un argument fréquemment avancé par Jeff Miron en faveur des frontières ouvertes est lié aux avantages économiques. Il pourrait soutenir que l'immigration contribue à la croissance économique en apportant des travailleurs supplémentaires, des compétences diversifiées et une main-d'œuvre dynamique. En favorisant la mobilité internationale, les frontières ouvertes peuvent stimuler l'innovation, renforcer la compétitivité et favoriser une économie plus dynamique.
  • . Réduction de la Criminalité et de l'Illégalité. En prônant des frontières ouvertes, Jeff Miron argumente également que cela contribue à réduire la criminalité liée à l'immigration illégale. En éliminant les barrières excessives, il considère que cela décourage les activités illégales associées à la traversée clandestine des frontières et à la traite des personnes.
  • . Favoriser la Tolérance et la Diversité. Jeff Miron met en avant l'idée que des frontières ouvertes favorisent la tolérance et la diversité culturelle. En encourageant la libre circulation des individus, les frontières ouvertes peuvent créer des sociétés plus inclusives, offrant un échange culturel et favorisant la compréhension mutuelle entre les personnes de différentes origines.
  • . Alignement avec les Principes Libertariens. La position de Jeff Miron en faveur des frontières ouvertes s'aligne probablement sur ses principes libertariens plus larges, qui défendent la minimisation de l'intervention gouvernementale dans la vie des individus. Il peut considérer que les restrictions à l'immigration sont une forme d'intervention gouvernementale qui limite la liberté individuelle sans justification suffisante.

En résumé, le soutien de Jeffrey Miron aux frontières ouvertes repose sur la promotion de la liberté individuelle, les avantages économiques de l'immigration, la réduction de la criminalité, la promotion de la tolérance culturelle et l'adhésion aux principes libertariens de limitation de l'intervention gouvernementale. Cette perspective vise à créer des sociétés plus dynamiques, inclusives et prospères en favorisant la mobilité internationale.

Opposition aux interventions à l'étranger

L'opposition de Jeffrey Miron aux interventions à l'étranger s'inscrit dans sa vision libertarienne qui met en garde contre une politique étrangère interventionniste et coûteuse. Ses arguments contre les interventions militaires à l'étranger reposent sur plusieurs préoccupations et principes clés.

  • . Coûts Financiers Élevés. Jeff Miron souligne que les interventions étrangères entraînent des coûts financiers massifs pour les États-Unis. Les dépenses liées à l'envoi de troupes à l'étranger, aux opérations militaires et à la reconstruction post-conflit peuvent représenter une charge économique considérable. Ces coûts peuvent avoir des répercussions importantes sur le budget national, entraînant des dettes et des déficits accrus.
  • . Coûts Humains et Moraux. Outre les coûts financiers, Jeff Miron soulève des préoccupations concernant les coûts humains et moraux associés aux interventions étrangères. Les conflits armés peuvent entraîner des pertes humaines importantes, tant du côté des forces armées américaines que des populations locales. De plus, les conflits peuvent susciter des préoccupations éthiques et morales, remettant en question la justification de l'utilisation de la force militaire pour atteindre des objectifs politiques.
  • . Résultats Incertains. Jeff Miron avance l'argument selon lequel les interventions étrangères ne garantissent pas nécessairement des résultats positifs. Les conflits peuvent souvent prendre des tournures imprévues, et les objectifs initiaux peuvent ne pas être atteints. Les efforts visant à instaurer la stabilité et la démocratie peuvent être confrontés à des défis complexes et imprévisibles sur le terrain.
  • . Non-Bénéfices pour les États-Unis. Selon Jeff Miron, les interventions étrangères ne bénéficient pas nécessairement aux intérêts à long terme des États-Unis. Il peut soutenir que l'utilisation de la force militaire peut entraîner des répercussions négatives, notamment la création d'hostilité envers les États-Unis dans la région ciblée. De plus, il estime que les ressources et l'attention consacrées aux interventions étrangères pourraient être mieux utilisées pour résoudre des problèmes internes ou pour des initiatives bénéfiques sur le plan national.
  • . Respect de la Souveraineté Nationale. En tant que défenseur du libertarianisme, Jeff Miron souligne également le respect de la souveraineté nationale des autres pays. Les interventions étrangères sont perçues comme une ingérence dans les affaires internes d'autres nations, ce qui peut être contraire aux principes de non-ingérence et de respect de l'autodétermination des peuples.

En résumé, le libéralisme de Jeffrey Miron repose sur des principes libertariens, défendant la minimisation de l'intervention gouvernementale dans l'économie, la promotion de la liberté individuelle, et l'adoption de politiques axées sur la responsabilité personnelle.

Informations complémentaires

Publications

  • 1991, avec Jeffrey Zwiebel, "Alcohol Consumption during Prohibition", American Economic Review, Vol 81, pp242-247
  • 1995, avec Jeffrey Zwiebel, "The Economic Case against Drug Prohibition", The Journal of Economic Perspectives, pp175-192
  • 1998, "Drug Prohibition", In: Peter Newman, dir., "The New Palgrave Dictionary of Economics and the Law", London: The Macmillan Press, pp648-652
  • 1999, "Violence and the US Prohibitions of Drugs and Alcohol?", American Law and Economics Review, Vol 1, n°1-2, Fall, pp78-114
  • 2001,
    • a. "The Economics of Drug Prohibition and Drug Legalization", Social Research, pp835-855
    • b. avec Suren Basov, Mireille Jacobson, "Prohibition and the Market for illegal drugs", World Economics, Vol 2, n°4, pp113-158
    • c. "Violence, Guns, and Drugs: A Cross‐Country Analysis", The Journal of Law & Economics, Vol 44, n°S2, pp615-633
  • 2003, "The Effect of Drug Prohibition on Drug Prices: Evidence from the Markets for Cocaine and Heroin?", Review of Economics and Statistics, Vol 85, n°3, pp522-530
  • 2005, avec Angela K. Dills, Mireille Jacobson, "The Effect of Alcohol Prohibition on Alcohol Consumption: Evidence from Drunkenness Arrests", Economics Letters, Vol 86, n°2, pp279-284
  • 2008, avec Chris Feige, "The Opium Wars, Opium Legalization, and Opium Consumption in China", Applied Economics Letters, Vol 15, n°12, pp911-913
  • 2010,
    • a. "Libertarianism, from A to Z", New York: Basic Books
    • b. avec Angela S. Dills, "What Do Economists Know About Crime?", In: Sebastian Edwards, Rafael Di Tella, Ernesto Schargrodsky, dir., "The Economics of Crime: Lessons for and from Latin America", Chicago: University of Chicago Press
  • 2012, "Comment on Selgin, Lastrapes, and White’s ‘Has the Fed Been a Failure?'", Journal of Macroeconomics, Vol 34, n°3, pp631-636
  • 2014, "Marijuana Policy in Colorado", Cato Institute, October

Littérature secondaire

Liens vidéos

  • "Libertarianism From A to Z avec Jeffrey Miron", interview menée par Nick Gillespie de Reason.tv dans les locaux de Reason à Washington DC. La vidéo met en lumière le point de vue du professeur d'économie de Harvard, Jeffrey Miron, sur une variété de sujets, abordant des questions complexes du point de vue de la pensée libérale classique qu'il développe dans son livre "Libertarianism From A to Z". La vidéo a été postée le 3 mai 2010 sur Youtube et a été produite par ReasonTV. Durée: 9:31
  • "The Power of Incentives" avec Jeff Miron, publiée par le Cato Institute, présente la première conférence du professeur Jeff Miron lors de l'événement Cato University. La vidéo se concentre sur le thème du "Pouvoir des Incitations". Le professeur Jeff Miron explore comment les incitations influencent le comportement des individus, des entreprises privées et des agences gouvernementales. La vidéo a été publiée le 16 août 2013, et elle a un format de conférence où le professeur Miron partage son expertise avec le public. Durée: 14:08
  • "Top Three Policy Reforms to Grow the Economy". Dans cette déclaration datée du 7 mars 2011, l'économiste Jeffrey Miron de l'Université Harvard propose trois réformes politiques qu'il estime favorables à la reprise économique et à la croissance aux États-Unis. Voici un aperçu de ces propositions : Réduction des Prestations Sociales, Gel des Régulations; Remplacement du Code Fiscal par un Impôt à Taux Unique sur la Consommation. Il est important de noter que cette déclaration a été faite en 2011, une période marquée par les répercussions de la crise financière de 2007-2008. Durée: 3:18
  • "Top Three Health Care Policy Proposals", Dans cette vidéo publiée par Learn Liberty sur le site Youtube, le 21 mars 2011, l'économiste, Jeff Miron, présente ses trois principales propositions de politique de santé pour améliorer le système de soins de santé aux États-Unis : Abandonner l'idée que les soins de santé sont un droit, Abroger l'Obamacare, Éliminer progressivement Medicare. La vidéo a été publiée un an après l'adoption d'une législation majeure sur les soins de santé (Obamacare), indiquant que Jeff Miron exprime ses préoccupations et propose des alternatives à la politique en place à l'époque. Ses propositions s'inscrivent dans une perspective libérale en mettant l'accent sur la minimisation de l'intervention gouvernementale dans le domaine de la santé et la promotion de mécanismes de marché pour résoudre les problèmes du système de santé. Durée: 4:14