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Journal des libertés

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Le journal des libertés est une publication écrite et digitale. La version numérique du Journal est gratuite[1]. Il s'agit d'un trimestriel qui réfléchit et s'exprime sérieusement sur la pensée libérale classique. Nulle création humaine ne peut émerger sans l'initiative des acteurs qui en désirent la production même si les effets peuvent produire des effets involontaires. Aussi, le journal des libertés fut donc créée durant l'été 2018 à l'initiative des présidents de deux associations libérales, l'ALEPS (Association pour la Liberté Economique et le Progrès Social) et l’IREF (Institut Européen de Recherches Economiques et Fiscales).

Une lumière académique projetée sur la richesse de la pensée libérale

Son approche est plutôt universitaire que grand public. L'origine de ses fondateurs et sa philosophie lui donnent une forte parenté avec le Journal des Économistes et des Études Humaines fondé à la fin des années 1980 par le Professeur Jean-Pierre Centi. Mais, il n'empêche que dans l'esprit de l'homme de la rue, la référence au terme libéral est soit caricaturale, soit floue voire incomplète ou déformée. Par conséquent, les rédacteurs du Journal des libertés souhaitent donner toute la légitimité à la pensée libérale en donnant de la lumière à toute la richesse et à la profondeur qu'elle mérite. Par conséquent, il s'agit d'ouvrir la porte à un public populaire sans tomber dans l'écueil du populisme démagogique.

Pour tenir l'engagement de sa mission, la rédaction du journal des libertés s'évertue à tracer une ligne éditoriale qui respecte la densité et la cohérence de la pensée libérale. C'est une vision transdisciplinaire et ouverte qui anime les écrits à l'intérieur de la publication avec des outils empruntés à la science politique, à la science économique, à la philosophie, à l'histoire, au droit et aux autres disciplines. Le résultat donne un agréable tour d'horizon du champ sophistiqué de la pensée libérale qui n'est pas cantonnée comme beaucoup l'estiment au strict domaine de l'économie marchande.

Certains adversaires du libéralisme pourraient reprocher une présentation aux angles de vue non uniformes. C'est tout le paradoxe de la pensée libérale de reposer sur des principes clairs et catégoriels partagés par tous mais dont les ramifications de la pensée permettent des nuances subtiles voire flagrantes entre chacun des protagonistes qui les exprime. Ceci différencie un monde où le monopole de la pensée règnerait sans partage et celui doté de la reconnaissance de l'expression de l'individu. Le premier est l'exemple d'un univers totalitaire et abrupt, le second est celui de la pensée libérale où chacun est libre d'exprimer son point de vue dans la mesure où il respecte une certaine cohérence avec les principes de liberté de base. C'est la raison pour laquelle les rédacteurs rappellent que la richesse de la pensée libérale exprimée autrefois par des penseurs anciens est nécessaire car elle nourrit la réflexion d'aujourd'hui. Mais ceci ne suffit pas à remplir les pages d'une feuille de route pour les actions à mener dans l'avenir si nous souhaitons nous sentir épanouis dans une société de liberté. Il faut inlassablement, jour après jour, non pas remettre en questions nos pensées du passé en les balayant du revers de la main mais les nuancer et les enrichir avec les expériences et les réflexions de notre actualité quotidienne.

Une équipe richement dotée de personnalités libérales universitaires et d'essayistes

Un coup d'œil rapide sur les membres du comité de rédaction permet de comprendre le poids influent des universitaires libéraux dans la ligne éditoriale du Journal des libertés. Cela donne un avantage certain pour désavouer les contradicteurs de faible niveau qui n'ont pas le bagage intellectuel d'un professeur d'université ou d'un essayiste imprégné de dizaines d'années sur la réflexion libérale. S'il faut généralement dix secondes pour jauger de la qualité intellectuelle d'un interlocuteur, il en faut dix de moins pour comprendre que le directeur de la publication, le Professeur d'université Pierre Garello fait partie des meilleurs analystes de la planète. Lors de la création de la revue, le Professeur d'économie, Bertrand Lemennicier, faisait partie du comité de rédaction. Hélas, son décès a laissé beaucoup de vide et de regret non seulement dans la revue mais dans l'ensemble du paysage de la pensée libérale. Aujourd'hui, le comité de rédaction est richement doté de penseurs libéraux francophones comme Jean-Philippe Delsol, François Facchini, Jean-Philippe Feldman, Jacques Garello, Guido Hulsmann, Alain Laurent, Nicolas Lecaussin, Henri Lepage, Philippe Nemo, Pascal Salin et Patrick Simon.



  1. Pour l'instant, un bug du site du Journal des libertés empêche cette fonctionnalité