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Prometheus Awards

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Historique

Les Prometheus Awards (Prix Prométhée) ont été fondés en 1976 par l'écrivain de science-fiction libertarien L. Neil Smith. Un panel sélectionna le roman Wheels Within Wheels de F. Paul Wilson et la récompense, une pièce d'or valant alors 2500$ lui fut remise. Etant donné le prix du trophée et le manque d'organisation, le prix fut abondonné l'année suivante.

La Libertarian Futurist Society, fondée en 1982 pour encourager les auteurs de SF dont les livres traitent de la liberté, décida de relancer les PA. La LFS sponsorise le Prometheus Awards pour le meilleur roman depuis sa création et y a ajouté l'année suivante le Prometheus Hall of Fame Awards qui récompense un classique de la fiction libertarienne.

La récompense pour les deux prix est une pièce d'or représentant le libre commerce et la libre pensée. La pièce du Prometheus Awards pèse une demi-once puis, à partir de 2001, une once. Celle du Hall of Fame pèse un huitième d'once.


Lauréats

Lauréats du Best Novel Prometheus Award

Lauréat du Prometheus Hall of Fame Award

Prix special

  • 2014 -- Vernor Vinge, pour l'ensemble de son œuvre, et Leslie Fish
  • 2007 -- James McTeigue et les frères Wachowski, V For Vendetta (film)
  • 2006 -- Joss Whedon, Serenity (film)
  • 2005 -- L. Neil Smith (auteur) and Scott Biese (illustrateur), The Probability Broach: The Graphic Novel
  • 2005 -- Editors Mark Tier et Martin H. Greenberg, "Give Me Liberty" et "Visions of Liberty", anthologies for Baen Books
  • 2001 -- Poul Anderson, Special Prometheus Award for Lifetime Achievement
  • 1998 -- Editors Brad Linaweaver and Edward E Kramer, Free Space (Anthology)

Liens externes


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  1. Dans un futur nord-américain, l’ancien État fédéral a été chassé en exil vers l’Atlantique Nord. À l’Est, une confédération mafieuse (le Syndic) assure la protection, perçoit une redevance « douce » à la place des impôts, et garantit une prospérité hédoniste ; à Chicago, un Mob rival règne plus brutalement. Le héros, Charles Orsino, petit collecteur du Syndic, est propulsé au cœur d’un complot et s’infiltre chez le « gouvernement en exil » pour démêler qui attaque qui. Wikipédia Le nerf du livre : un “problème de stabilité” libéral. Kornbluth pousse une idée provocante : une société plaisante, décentralisée et fondée sur des accords volontaires peut durer tant qu’elle reste souple et peu armée… mais cette souplesse la rend vulnérable aux voisins hostiles. Orsino entrevoit une solution : doter le Syndic d’attributs d’État pour mieux se défendre. Mais armer la défense, formaliser l’impôt, durcir la police — bref, « se gouvernétiser » défigurerait précisément ce qui rend la société digne d’être défendue. C’est le piège : toute riposte énergique menace de détruire la chose à sauver.