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Arnold Cooper

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Le professeur Arnold C. Cooper était un spécialiste renommé du management qui a apporté d'importantes contributions aux domaines de l'entrepreneuriat et de la gestion stratégique. Né le 9 mars 1933 à Chicago, il a consacré sa carrière à faire progresser notre compréhension de ces disciplines. Malheureusement, le professeur Cooper est décédé le 6 décembre 2012, laissant derrière lui un héritage durable dans la communauté universitaire.

Tout au long de sa carrière, le professeur Cooper a mené des recherches approfondies et publié de nombreux articles et livres influents. Il a été un pionnier dans le domaine de l'entrepreneuriat, explorant divers aspects du processus entrepreneurial, y compris la reconnaissance des opportunités, la création de nouvelles entreprises et laissant découvrir les traits et les comportements des entrepreneurs prospères. Son travail internationalement reconnu[1], a contribué à façonner la compréhension de l'entrepreneuriat en tant que phénomène dynamique et complexe.

En plus de ses contributions à l'entrepreneuriat, le professeur Cooper a également fait d'importants progrès dans le domaine de la gestion stratégique. Il a étudié des sujets tels que la stratégie d'entreprise, l'avantage concurrentiel et les processus de prise de décision stratégique. Ses recherches ont fourni des informations précieuses sur la façon dont les organisations peuvent développer et maintenir un avantage concurrentiel dans un environnement commercial en évolution rapide.

Parcours et expertise d'Arnold Cooper

Du fils d'un employé des chemins de fer à un spécialiste de la gestion

L'éducation et le parcours scolaire d'Arnold Cooper donnent un aperçu de sa jeunesse et de ses activités académiques. Issu d'une famille dont le père est postier des chemins de fer, il connaît de multiples délocalisations durant son enfance. La famille a d'abord résidé à Chicago et ) Cincinnati avant de finalement s'installer à New Castle, dans l'Indiana, où Arnold Cooper a passé ses années de formation.

Arnold Cooper a fréquenté le New Castle High School et a obtenu son diplôme en 1951. Après ses études secondaires, il a entrepris son parcours universitaire à l'Université Purdue de Lafayette, dans l'Indiana. Au départ, il a poursuivi une majeure en génie chimique, démontrant son intérêt précoce pour les sciences.

Après avoir obtenu son diplôme en génie chimique de l'Université Purdue en 1955, Arnold Cooper a entrepris une nouvelle étape de sa formation académique. Il a servi pendant six mois en tant que sous-lieutenant dans le corps chimique de l'armée, et il décide ensuite de s'inscrire en 1956 au tout nouveau programme de MBA (Master en administration des affaires) en gestion industrielle de l'Université Purdue.

Ce programme de MBA en gestion industrielle était alors proposé au sein de ce qui deviendra plus tard l'école de management Krannert de l'Université Purdue. Il s'agissait d'une initiative récente qui visait à former des professionnels capables de relever les défis de gestion et de leadership dans le secteur industriel. Pour Arnold Cooper, ce choix marquait un tournant décisif dans sa carrière académique. En passant du génie chimique à la gestion industrielle, il cherchait à acquérir une compréhension plus approfondie des principes de gestion et à développer ses compétences dans ce domaine. Cette transition reflétait son intérêt croissant pour les aspects organisationnels et stratégiques des entreprises, parallèlement à ses connaissances scientifiques.

Au sein du programme de MBA en gestion industrielle, Arnold Cooper a eu l'occasion d'étudier divers sujets liés à la gestion, tels que la planification stratégique, les opérations, la finance et le marketing. Cette formation lui a permis de développer une perspective plus holistique de l'entreprise et d'acquérir les compétences nécessaires pour prendre des décisions éclairées et réussir dans des rôles de direction.

La formation en gestion industrielle a probablement nourri l'intérêt de Cooper pour l'entrepreneuriat et la gestion stratégique, qui deviendra plus tard des domaines majeurs de ses recherches et de ses contributions académiques. Sa solide formation en génie chimique combinée à son expertise en gestion a permis à Cooper d'apporter une approche unique et multidisciplinaire à ses travaux de recherche et à sa carrière universitaire.

En conclusion, l'inscription d'Arnold Cooper au programme de MBA en gestion industrielle de l'Université Purdue a marqué une transition significative dans sa carrière académique, passant du génie chimique à la gestion d'entreprise. Cette décision lui a permis de développer ses connaissances en gestion et d'élargir ses compétences, jetant ainsi les bases de ses futures contributions en tant que chercheur et leader dans les domaines de l'entrepreneuriat et de la gestion stratégique.

Un parcours académique exemplaire entre Harvard et Purdue University

Après avoir obtenu son MBA de l'Université Purdue en 1957, Cooper a travaillé pendant un an chez Procter & Gamble à Cincinnati. Cependant, il a ensuite été accepté en tant qu'étudiant en doctorat à la Harvard Business School à Boston, où il s'est rendu à l'automne 1958. À Harvard, Cooper a commencé à travailler avec le professeur W. Arnold Hosmer, qui étudiait les petites entreprises technologiques en croissance dans la région de Boston. Cooper a rédigé sa thèse doctorale sous la direction de Hosmer et, une fois terminée, il est resté comme enseignant à la Harvard Business School entre 1961 et 1963.

En 1963, Cooper est retourné à l'Université Purdue et à la Krannert School of Management en tant que professeur adjoint. En 1970, il est devenu professeur au sein de la même faculté. Arnold Cooper est resté à l'Université Purdue pour le reste de sa carrière, bien qu'il ait occupé des postes de professeur invité à l'Université Stanford, à la Manchester Business School en Angleterre, à l'Institut de développement de la gestion en Suisse et à la Wharton School de l'Université de Pennsylvanie.

Sa carrière académique remarquable et ses nombreuses contributions à la recherche en gestion et en entrepreneuriat ont fait d'Arnold Cooper une figure respectée dans la communauté universitaire. Son travail a influencé de nombreux étudiants et chercheurs, et il a laissé un héritage durable dans les domaines de l'entrepreneuriat, de la gestion stratégique et de l'innovation.

Arnold Cooper était reconnu pour sa capacité à combiner une pensée analytique rigoureuse avec une perspective pratique. Ses recherches ont contribué à éclairer les pratiques entrepreneuriales, les stratégies de gestion et les défis auxquels sont confrontées les petites entreprises.

En conclusion, Arnold Cooper a poursuivi une carrière académique prolifique, alliant enseignement, recherche et mentorat. Son parcours l'a conduit de Purdue à Harvard, puis de nouveau à Purdue, où il a laissé une empreinte significative en tant que chercheur et éducateur dans les domaines de la gestion, de l'entrepreneuriat et de l'innovation.

Les avantages des petites entreprises dans l'entrepreneuriat technologique

Les avantages des petites entreprises dans la R&D et dans l'entrepreneuriat

Les contributions d'Arnold Cooper aux domaines de l'entrepreneuriat et de la gestion stratégique ont consolidé son statut de l'un des chercheurs pionniers dans ces domaines. Sa thèse de doctorat, intitulée "Pratiques et problèmes dans le développement de produits techniquement avancés dans les petites entreprises manufacturières", portait sur la croissance des petites entreprises dans la région de Boston, démontrant son intérêt précoce pour l'étude de la dynamique des firmes entrepreneuriales.

Les recherches de Cooper ont remis en question la croyance dominante à l'époque selon laquelle les grandes entreprises détenaient des avantages significatifs par rapport aux plus petites, en particulier dans le domaine de la recherche et du développement (R&D). Dans sa thèse et ses articles ultérieurs, y compris ceux publiés dans la Harvard Business Review en 1964 et 1966, il a présenté des preuves empiriques pour contrer cette notion.

Les travaux de Cooper ont mis en évidence le potentiel des petites entreprises à exceller en R&D et à commercialiser des produits techniquement avancés. Il a souligné l'agilité, l'esprit d'entreprise et les capacités d'innovation des petites entreprises, qui leur ont souvent permis de rivaliser efficacement avec les grandes organisations.

En remettant en question les hypothèses dominantes et en mettant en valeur les points forts des petites entreprises, les recherches de Cooper ont contribué à une compréhension plus nuancée du paysage entrepreneurial. Son travail a remis en question les perspectives traditionnelles et fourni des informations précieuses aux universitaires et aux praticiens dans les domaines de l'entrepreneuriat et de la gestion stratégique.

Les articles publiés par Cooper dans la Harvard Business Review ont joué un rôle crucial dans la diffusion de ses conclusions et l'élaboration du discours sur les capacités des petites entreprises. Ces articles ont attiré l'attention sur les avantages que possèdent les petites entreprises et ont encouragé une exploration plus approfondie des forces et des stratégies uniques employées par les entreprises entrepreneuriales.

Dans l'ensemble, les recherches et les publications d'Arnold Cooper ont jeté les bases d'une compréhension plus complète de l'entrepreneuriat et de la gestion stratégique, soulignant la valeur des petites entreprises pour stimuler l'innovation et remettre en question les notions établies d'avantage concurrentiel. Ses contributions ont influencé les générations suivantes de chercheurs et continuent d'inspirer la recherche scientifique dans le domaine.

Libérer l'efficacité en R&D : l'avantage des petites entreprises

Dans l'article qu'Arnold Cooper écrit en 1964, "La R&D est plus efficace dans les petites entreprises", il explore l'efficacité des efforts de recherche et développement (R&D) dans les petites entreprises par rapport aux grandes organisations. Il soutient que les petites entreprises peuvent atteindre une plus grande efficacité dans leurs activités de R&D en raison de leurs caractéristiques inhérentes et de leur dynamique opérationnelle.

Cooper suggère que les petites entreprises possèdent plusieurs avantages en matière de R&D. Elles se concentrent souvent davantage sur des produits ou des marchés spécifiques, ce qui permet des efforts concentrés et des recherches plus ciblées. Les chefs de petites entreprises sont souvent étroitement impliqués dans la prise de décision en matière de R&D, promouvant une approche plus rationalisée et agile.

L'article souligne également l'importance de la culture entrepreneuriale et la flexibilité des processus décisionnels dans les petites entreprises. Arnold Cooper soutient que ces facteurs facilitent une prise de décision plus rapide, permettant aux petites entreprises de s'adapter et de réagir rapidement aux changements du marché ou aux avancées technologiques.

L'auteur souligne la nécessité pour les petites entreprises de tirer parti de leurs avantages inhérents pour maximiser l'efficacité de leurs efforts de R&D. Il encourage les chefs de petites entreprises à favoriser un environnement qui favorise la collaboration, la prise de risques et l'innovation, car ces facteurs peuvent conduire à une plus grande productivité et réussite en R&D.

En se concentrant sur les forces uniques des petites entreprises et en créant une culture organisationnelle qui soutient les initiatives de R&D, Cooper suggère que les petites entreprises peuvent concurrencer efficacement les grandes entreprises et réaliser des percées importantes en matière d'innovation.

En résumé, l'article "R&D Is More Efficient in Small Companies" d'Arnold C. Cooper examine comment les petites entreprises peuvent tirer parti de leurs avantages pour atteindre une plus grande efficacité dans leurs efforts de recherche et développement. En capitalisant sur leur approche ciblée, leur culture entrepreneuriale et leurs processus décisionnels agiles, les petites entreprises peuvent optimiser leurs efforts de R&D et stimuler l'innovation.

Les petites entreprises en première ligne : Pionnières dans le développement de nouveaux produits

Dans son article intitulé "Small Companies can Pioneer New Products" publié dans la Harvard Business Review en septembre-octobre 1966, Arnold Cooper explore le rôle des petites entreprises dans l'innovation et le lancement de nouveaux produits. Il avance l'idée que les petites entreprises possèdent des avantages spécifiques par rapport aux grandes organisations lorsqu'il s'agit d'introduire de nouveaux produits sur le marché. Selon lui, les petites entreprises sont souvent plus agiles, flexibles et entrepreneuriales, ce qui leur permet de prendre des risques et de poursuivre des idées novatrices plus facilement.

L'auteur souligne que les petites entreprises ont une plus grande tolérance à l'ambiguïté et à l'incertitude, ce qui leur permet d'identifier rapidement les opportunités émergentes sur le marché et d'agir rapidement pour développer et lancer de nouveaux produits. Elles sont moins entravées par des processus bureaucratiques et peuvent prendre des décisions rapides et apporter des ajustements en fonction des retours du marché.

Cooper met l'accent sur l'importance d'un leadership entrepreneurial au sein des petites entreprises. Il affirme que les dirigeants visionnaires et innovants jouent un rôle crucial dans le développement de produits et dans la création d'une culture de l'innovation au sein de l'organisation. Ces leaders favorisent un environnement qui encourage l'expérimentation, l'apprentissage des échecs et l'acceptation du changement.

L'article aborde également les défis auxquels les petites entreprises peuvent être confrontées lorsqu'elles proposent de nouveaux produits. Des ressources limitées, telles que le financement et l'expertise, peuvent constituer des obstacles à l'innovation. Cependant, Cooper suggère que les petites entreprises peuvent surmonter ces défis en tirant parti de leur agilité, de leur créativité et de leurs relations étroites avec les clients pour obtenir un avantage concurrentiel.

Dans l'ensemble, l'article d'Arnold Cooper met en évidence les capacités uniques et les avantages des petites entreprises lorsqu'il s'agit d'introduire de nouveaux produits sur le marché. En mettant l'accent sur l'importance d'un leadership entrepreneurial et en adoptant une culture de l'innovation, les petites entreprises peuvent ouvrir la voie à des produits perturbateurs et transformateurs, défiant les acteurs établis et favorisant le progrès de l'industrie.

Facteurs influençant le succès des nouvelles entreprise

Les chances perçues de succès des entrepreneurs

Dans l'article de recherche publié dans le Journal of Business Venturing en 1988, "Les chances perçues de succès des entrepreneurs", Arnold Cooper, C. Y. Woo et W. C. Dunkelberg explorent les perceptions des entrepreneurs quant à leurs chances de réussite. L'étude se concentre sur l'évaluation subjective que font les entrepreneurs de leurs propres perspectives de succès dans leurs entreprises.

Les auteurs soulignent l'importance des perceptions subjectives dans la prise de décision et le comportement entrepreneurial. Ils affirment que les croyances et les évaluations personnelles des entrepreneurs peuvent influencer leur niveau d'engagement, leur motivation et leurs actions pour atteindre leurs objectifs.

À travers des enquêtes et des analyses statistiques, Cooper, Woo et Dunkelberg examinent comment les entrepreneurs évaluent leurs chances de succès. Ils étudient les facteurs qui peuvent influencer ces perceptions, tels que l'expérience entrepreneuriale antérieure, les ressources disponibles et l'environnement économique.

Les résultats de l'étude mettent en évidence l'impact significatif des perceptions des entrepreneurs sur leurs décisions et leur comportement entrepreneurial. Les entrepreneurs qui perçoivent des chances de succès plus élevées ont tendance à être plus engagés, plus motivés et plus déterminés dans la poursuite de leurs objectifs. Ces perceptions influencent également leur volonté de prendre des risques et leur capacité à mobiliser des ressources pour soutenir leur entreprise.

L'article souligne l'importance de comprendre les perceptions des entrepreneurs en tant que facteur clé dans l'étude du processus entrepreneurial. Il suggère que les interventions et les politiques visant à soutenir les entrepreneurs devraient tenir compte de ces perceptions subjectives afin de favoriser une prise de décision plus informée et des stratégies plus efficaces. En résumé, la collaboration entre Arnold Cooper, C. Y. Woo et W. C. Dunkelberg offre un aperçu précieux de l'importance des perceptions subjectives dans la prise de décision et le comportement entrepreneurial.

Le capital humain et financier initial comme prédicteurs de la performance des nouvelles entreprises

Dans leur article de recherche, "Le capital humain et financier initial en tant que prédicteurs de la performance des nouvelles entreprises", Arnold Cooper, F. J. Gimeno-Gascon et C. Y. Woo (1994) explorent le rôle du capital humain et financier initial en tant que prédicteurs de la performance des nouvelles entreprises. L'étude se concentre sur l'importance des ressources humaines et financières au stade initial de la création d'entreprises et examine comment ces facteurs peuvent influencer le succès des nouvelles ventures.

Les auteurs mettent en évidence l'importance du capital humain lorsqu'il s'agit de développer et de gérer une nouvelle entreprise. Ils soulignent que les compétences, les connaissances et l'expérience des fondateurs jouent un rôle crucial dans la mise en place d'une base solide pour la croissance et la réussite de l'entreprise. De plus, les ressources financières initiales, telles que le capital d'amorçage, sont également considérées comme un facteur prédictif de la performance des nouvelles entreprises.

En utilisant des données empiriques et des modèles analytiques, Arnold Cooper et ses collègues examinent comment le capital humain et financier initial peuvent influencer diverses mesures de performance des nouvelles création d'entreprises, telles que la croissance des ventes, la rentabilité et la survie à long terme. Ils fournissent des aperçus précieux pour les entrepreneurs, les investisseurs et les décideurs en soulignant les ressources clés à mobiliser lors du lancement d'une nouvelle entreprise et en mettant en évidence les facteurs qui peuvent impacter sa performance.

Cet article contribue à notre compréhension des facteurs qui influencent le succès des nouvelles entreprises et met en évidence l'importance du capital humain et financier initial. Les résultats de l'étude peuvent avoir des implications significatives pour le développement de politiques, les stratégies de financement et les pratiques entrepreneuriales visant à promouvoir la croissance et la durabilité des nouvelles ventures.

L'impact du capital humain entrepreneurial sur la survie des entreprises en difficulté

Dans l'article de recherche, "Survie du plus apte ? Le capital humain entrepreneurial et la persistance des entreprises en difficulté" (1997), Arnold Cooper, J. Gimeno, T. B. Folta et C. Y. Woo explorent le rôle du capital humain entrepreneurial dans la persistance des entreprises en difficulté. L'étude examine comment les compétences, les connaissances et les expériences des entrepreneurs peuvent influencer la survie et la performance des entreprises confrontées à des difficultés.

Les auteurs remettent en question l'idée largement répandue selon laquelle les entreprises en difficulté sont vouées à l'échec. Ils soutiennent que le capital humain entrepreneurial peut jouer un rôle crucial dans la résilience et la capacité des entreprises à surmonter les défis. En utilisant des données empiriques et des modèles analytiques, Cooper, Gimeno, Folta et Woo étudient comment le capital humain entrepreneurial influence la survie et la performance des entreprises en difficulté. Ils examinent les compétences entrepreneuriales spécifiques qui peuvent aider à surmonter les obstacles et à relancer la croissance.

Les résultats de l'étude mettent en évidence l'importance du capital humain entrepreneurial dans la persistance des entreprises en difficulté. Les compétences entrepreneuriales telles que la capacité d'adaptation, la résolution de problèmes, la prise de décision et la gestion des risques peuvent jouer un rôle clé dans la résolution des problèmes et la mise en œuvre de stratégies de redressement.

L'article souligne également l'importance de l'apprentissage organisationnel et de l'adaptation aux changements pour les entreprises en difficulté. Les entrepreneurs dotés d'un capital humain entrepreneurial solide ont plus de chances de réagir de manière proactive aux défis et de mettre en place des mesures correctives appropriées.

En résumé, l'article "Survival of the Fittest? Entrepreneurial Human Capital and the Persistence of Underperforming Firms" examine comment le capital humain entrepreneurial peut influencer la persistance et la performance des entreprises en difficulté. La collaboration entre Arnold Cooper, J. Gimeno, T. B. Folta et C. Y. Woo offre des perspectives importantes sur les compétences entrepreneuriales nécessaires pour surmonter les obstacles et relancer la croissance des entreprises confrontées à des difficultés.

Dynamiques de la diversité entrepreneuriale

Analyse des processus entrepreneuriaux pour comprendre la diversité entrepreneuriale

Au cours des années 1980, Arnold Cooper et William Dunkelberg ont entrepris une importante étude sur la diversité entrepreneuriale. Ils ont collaboré à un projet qui consistait à envoyer un questionnaire à plus de 6 000 membres de la Fédération nationale des entreprises indépendantes (NFIB), qui représentait l'un des échantillons les plus importants et les plus diversifiés de propriétaires de petites entreprises à l'époque. Le taux de réponse a été de 29 %, fournissant des informations précieuses sur les caractéristiques et les expériences des propriétaires de petites entreprises.

En 1985, Arnold Cooper et Dunkelberg, ainsi que William J. Dennis et Carolyn Woo, ont mené une étude encore plus vaste axée sur les entreprises nouvellement créées parmi les membres de la NFIB. L'objectif de cette étude était de faire la lumière sur le processus entrepreneurial et de comprendre pourquoi certaines nouvelles entreprises réussissent tandis que d'autres échouent. En examinant une série de facteurs, ils visaient à identifier les déterminants critiques du succès et de l'échec dans les premiers stades de l'entrepreneuriat.

Au cours de la fin des années 1980 et des années 1990, Cooper a analysé les nombreuses données recueillies à partir de ces études. Il a collaboré avec des collègues chercheurs pour co-écrire plusieurs articles basés sur leurs découvertes, qui sont depuis devenus largement cités dans le domaine de la recherche entrepreneuriale. Ces articles ont contribué à une meilleure compréhension des facteurs qui influencent les résultats des nouvelles entreprises et ont éclairé les recherches ultérieures et les stratégies pratiques pour le succès entrepreneurial.

Les recherches menées par Cooper et Dunkelberg ont fourni des informations précieuses sur la nature diversifiée de l'entrepreneuriat et ont fourni des preuves empiriques précieuses sur les défis et les opportunités auxquels sont confrontés les propriétaires de petites entreprises. Leurs études ont eu un impact durable sur le terrain, façonnant la compréhension des processus entrepreneuriaux et informant les politiques et les pratiques pour soutenir la croissance et le succès des nouvelles entreprises.

Les Nouvelles Entreprises en Amérique : Les Firmes et leurs Propriétaires

En 1990, Arnold Cooper, William C. Dunkelberg, Carolyn Y. Woo et William J. Dennis Jr. ont collaboré pour publier un ouvrage majeur intitulé "New Business in America: The Firms and their Owners". Cet ouvrage, publié par la NFIB Foundation, se concentre sur les nouvelles entreprises aux États-Unis et leurs propriétaires.

Dans cet ouvrage, les auteurs explorent et analysent en profondeur les caractéristiques des nouvelles entreprises américaines et les profils de leurs propriétaires. Ils examinent les défis, les opportunités et les dynamiques spécifiques auxquels sont confrontées ces entreprises, en mettant l'accent sur les facteurs qui influencent leur création, leur croissance et leur survie.

"New Business in America: The Firms and their Owners" offre une vision globale de l'environnement entrepreneurial aux États-Unis. Les auteurs présentent des données empiriques, des statistiques et des études de cas pour illustrer les tendances et les réalités des nouvelles entreprises dans divers secteurs et industries.

Cet ouvrage fournit des informations précieuses pour les entrepreneurs, les décideurs, les chercheurs et les professionnels qui s'intéressent au paysage entrepreneurial américain. Il offre une compréhension approfondie des facteurs qui influencent la création et la performance des nouvelles entreprises, en identifiant les défis communs auxquels sont confrontés les entrepreneurs et en fournissant des perspectives pour favoriser leur réussite.

En résumé, "New Business in America: The Firms and their Owners" est un ouvrage clé d'Arnold Cooper, William C. Dunkelberg, Carolyn Y. Woo et William J. Dennis Jr. qui explore les nouvelles entreprises aux États-Unis et leurs propriétaires. Cet ouvrage offre une analyse approfondie des caractéristiques et des dynamiques des nouvelles entreprises, fournissant des informations précieuses pour les entrepreneurs et les décideurs qui souhaitent mieux comprendre le paysage entrepreneurial américain.

Perspectives et stratégies pour la fondation d'entreprises technologiques

Que Savons-Nous de l'Entrepreneuriat Technologique ?

En 1973, Arnold Cooper a publié un article clé intitulé "Technical Entrepreneurship: What Do We Know?" dans le journal R&D Management. Cet article se concentre sur l'entrepreneuriat technologique et examine les connaissances existantes dans ce domaine. Dans cet article, Cooper fait le point sur les recherches et les connaissances accumulées jusqu'à cette date concernant l'entrepreneuriat technologique. Il passe en revue les principales théories, les modèles et les études empiriques sur ce sujet et identifie les lacunes et les questions en suspens.

Cooper met en évidence les progrès réalisés, les domaines de consensus et les domaines nécessitant davantage de recherche et d'exploration. Cet article a contribué à stimuler la recherche et les débats sur l'entrepreneuriat technologique et a servi de base pour de futures études dans ce domaine. Les idées et les réflexions présentées par Cooper ont influencé le développement ultérieur de la théorie et de la pratique de l'entrepreneuriat technologique.

En résumé, "Technical Entrepreneurship: What Do We Know?" est un article essentiel d'Arnold Cooper qui fait le point sur les connaissances dans le domaine de l'entrepreneuriat technologique à l'époque. Cet article a joué un rôle important dans le développement ultérieur de la recherche et de la pratique de l'entrepreneuriat technologique, en identifiant les avancées et les lacunes dans les connaissances existantes.

Le rôle des spin-offs dans les entreprises technologiques

Dans les années qui ont suivi, alors qu'il travaillait en tant que professeur invité à l'Université Stanford (1968), Arnold Cooper a mené une étude novatrice sur les spin-offs au sein des entreprises technologiques de la Silicon Valley. En examinant plus de 250 entreprises, Cooper a découvert que le taux de spin-off était environ 10 fois plus élevé chez les petites entreprises que chez les grandes entreprises.

Au cours des années 1970, Cooper a publié plusieurs articles basés sur son étude des spin-offs, se concentrant principalement sur les questions suivantes : pourquoi de nouvelles entreprises technologiques naissent-elles là où elles le font et quelle influence les entreprises déjà établies dans la région géographique ont-elles sur le taux de création de nouvelles entreprises ? Cooper a constaté que les entreprises établies ou les organisations incubatrices avaient une influence majeure sur l'emplacement des nouvelles entreprises.

Cette étude a été révolutionnaire dans la mesure où elle a contribué à une meilleure compréhension des dynamiques d'innovation et de création d'entreprises dans les régions à forte concentration technologique. Il a démontré que les entreprises déjà établies jouent un rôle crucial en tant que moteurs de l'écosystème entrepreneurial, favorisant la naissance de nouvelles entreprises grâce à des transferts de connaissances, de compétences et de ressources.

Les recherches d'Arnold Cooper sur les spin-offs ont eu un impact significatif sur le développement de politiques et de stratégies visant à promouvoir l'innovation et l'entrepreneuriat régional. Ses travaux ont également aidé les entrepreneurs et les décideurs à comprendre l'importance de l'écosystème entrepreneurial dans la création et la croissance des entreprises technologiques.

Perspectives et Stratégies sur la Fondation d'Entreprises Basées sur la Technologie

En 1971, Arnold Cooper a publié une étude clé intitulée "The Founding of Technologically Based Firms". Cette étude, publiée par le Center for Venture Management, se concentre sur la création et la fondation d'entreprises technologiques. Dans cet ouvrage, Cooper explore les aspects fondamentaux liés à la création et au lancement de nouvelles entreprises technologiques. Il examine les défis spécifiques auxquels sont confrontés les entrepreneurs dans le domaine technologique, ainsi que les facteurs qui contribuent à leur succès.

L'étude met en évidence l'importance des compétences entrepreneuriales, des ressources financières et techniques, ainsi que des partenariats stratégiques dans le processus de fondation d'entreprises technologiques. Cooper analyse également les caractéristiques et les compétences des fondateurs, ainsi que leur influence sur la croissance et le développement des entreprises technologiques.

"The Founding of Technologically Based Firms" offre des perspectives précieuses sur le rôle des entrepreneurs dans l'innovation technologique et le développement de nouvelles entreprises. L'étude de Cooper a contribué à une meilleure compréhension des dynamiques de fondation d'entreprises technologiques et a fourni des informations clés pour les entrepreneurs, les investisseurs et les décideurs.

Cet ouvrage est considéré comme une ressource fondamentale pour ceux qui s'intéressent à la création et au développement d'entreprises technologiques. Il offre une vision approfondie des défis et des opportunités spécifiques auxquels sont confrontées ces entreprises, tout en proposant des recommandations pratiques pour leur réussite.

En résumé, "The Founding of Technologically Based Firms" est une étude clé d'Arnold Cooper qui met en évidence les aspects fondamentaux de la création d'entreprises technologiques. Cette publication continue d'être une référence incontournable pour ceux qui souhaitent comprendre et réussir dans le domaine de l'entrepreneuriat technologique.

Spin-Offs et Entrepreneuriat Technologique : Explorer la Dynamique des Nouvelles Entreprises

En 1972, Arnold Cooper a publié un article important intitulé "Spin-Offs and Technical Entrepreneurship" dans le journal IEEE Transactions on Engineering Management. Cet article se concentre sur les spin-offs et l'entrepreneuriat technologique. Dans cet article, Cooper examine le phénomène des spin-offs, qui sont des entreprises nouvellement créées qui émergent à partir d'organisations existantes, généralement des entreprises technologiques. Il explore le rôle de l'entrepreneuriat technologique dans les spin-offs et comment ces entreprises contribuent à l'innovation et à la croissance économique.

L'article offre une analyse approfondie des mécanismes, des motivations et des conséquences des spin-offs dans le contexte de l'entrepreneuriat technologique. L'article met en évidence les avantages et les défis associés à la création de spin-offs, ainsi que leur impact sur l'écosystème entrepreneurial et économique.

Cet article a contribué à une meilleure compréhension des processus de spin-offs et a été une référence pour les chercheurs et les praticiens dans le domaine de l'entrepreneuriat technologique. Il a aidé à éclairer les décisions stratégiques des entreprises technologiques concernant la création de spin-offs et a stimulé la recherche sur ce sujet.

En résumé, "Spin-Offs and Technical Entrepreneurship" est un article d'Arnold Cooper qui examine le rôle des spin-offs dans l'entrepreneuriat technologique. Cet article fournit des connaissances approfondies sur les mécanismes et les conséquences des spin-offs, et a contribué à l'avancement de la recherche et de la pratique dans le domaine de l'entrepreneuriat technologique.

Informations complémentaires

Notes et références

  1. Arnold Cooper a reçu le Distinguished Scholar Award en 1987 du Conseil international des petites entreprises, le Prix international 1997 pour l'entrepreneuriat et la recherche sur les petites entreprises (aujourd'hui connu sous le nom de Prix mondial pour la recherche en entrepreneuriat) et de nombreux prix pour les meilleurs articles. Il a remporté cinq prix d'enseignement de l'Université Purdue, le prix Richard D. Irwin Outstanding Educator Award en 1999 et le prix Coleman Entrepreneurship Mentor Award en 1993.

Publications

De 1964 à 1979

  • 1964, "R&D Is More Efficient in Small Companies", Harvard Business Review, May–June, 42(3), pp75-83
  • 1966,
    • a. avec Windsor Hosmer, Frank Tucker, "Small Business Management: A Casebook", Homewood, IL: Richard D. Irwin, Inc.
    • b. "Small Companies can Pioneer New Products", Harvard Business Review. September–October, 44(5), pp162-179
  • 1970, "The Entrepreneurial Environment", Industrial Research, september, pp7-15
  • 1971,
    • a. "The Founding of Technologically Based Firms", MI: The Center for Venture Management
    • b. "Spin–Offs and Technical Entrepreneurship", IEEE Transactions on Engineering Management, Vol 19, n°1, pp2–6
  • 1972, avec John Komives, dir., "Technical entrepreneurship: A symposium", Milwaukee, WI: Center for Venture Management
  • 1973, "Technical entrepreneurship: what do we know?", R. &. D Management, Vol 3, n°2, février, pp59–65
  • 1977,
    • a. avec LaRue Tone Hosmer, Karl H. Vesper, "The Entrepreneurial Function: Text and Cases in the Management of Smaller Firms", Englewood Cliffs, NJ: Prentice–Hall, Inc.
    • b. avec Albert Bruno, "Success Among High–Technology Firms", Business Horizons, 20(2), pp16–22

De 1980 à 1989

  • 1981, "Strategic Management: New Ventures and Small Business", Long Range Planning, 14(5), pp39–45
  • 1982, avec Albert Bruno, "Patterns of Development and Acquisitions for Silicon Valley Startups", Technovation, 1(4), pp275–290
  • 1985, "The role of incubator organizations in the founding of growth-oriented firms", Journal of Business Venturing, Vol 1, n°1, pp75-86
  • 1986,
    • a. avec William C. Dunkelberg, "Entrepreneurship and Paths to Business Ownership", Strategic Management Journal, Vol 7, n°1, pp53–68
    • b. avec Gary Willard, Carolyn Woo, "Strategies of High–Performing New and Small Firms: A Reexamination of the Niche Concept", Journal of Business Venturing, 1(3), pp247–260
    • c. "Entrepreneurship and High Technology", In: Donald L. Sexton, Ray M. Smilor, dir., "The Art and Science of Entrepreneurship", Hagerstown, MD: Ballinger Publishing Co, pp153–168
  • 1987,
    • a. avec William Dunkelberg, "Entrepreneurial Research: Old Questions, New Answers and Methodological Issues", American Journal of Small Business 11(3), pp11–23
    • b. avec William Dunkelberg, Carolyn Woo, W. Dennis, "New firm growth and performance", In: N. Churchill et. al., dir., "Frontiers of Entrepreneurship Research", Babson College, pp307–321
  • 1988, avec William C. Dunkelberg, Carolyn Y. Woo, "Entrepreneurs’ Perceived Chances of Success", Journal of Business Venturing, Vol 3, n°2, pp97-108
  • 1989, avec Carolyn Woo, William Dunkelberg, "Entrepreneurship and the Initial Size of Firms", Journal of Business Venturing, 4(5), pp317–332

De 1990 à 1999

  • 1990, avec William C. Dunkelberg, Carolyn Y. Woo, William J. Dennis Jr., "New Business in America: The Firms and their Owners", Washington, DC: The NFIB Foundation
  • 1991, avec Carolyn Woo, William Dunkelberg, "The Development and Interpretation of Entrepreneurial Typologies", Journal of Business Venturing, 6(2), pp93–114
  • 1992, avec Javier Gimeno–Gascon, "Entrepreneurs, Processes of Founding and New Firm Performance", In: Donald Sexton, John Kasarda, dir., "The State of the Art of Entrepreneurship", Boston: PWS–Kent Publishing Company, pp301–340
  • 1993,
    • a. avec Anne McCarthy, David Schoorman, "Reinvestment Decisions by Entrepreneurs: Rational Decision Making or Escalation of Commitment", Journal of Business Venturing, 8(1), pp9–24
    • b. "Challenges in Predicting New Firm Performance", Journal of Business Venturing, 8(3), pp241–253
  • 1994, avec Javier Gimeno–Gascon, Carolyn Y. Woo, "Initial Human and Financial Capital as Predictors of New Venture Performance", Journal of Business Venturing, Vol 9, n°5, pp371-395
  • 1995,
    • a. avec Kendall Artz, "Determinants of Satisfaction for Entrepreneurs", Journal of Business Venturing, 19(6), pp439–457
    • b. avec Timothy Folta, Carolyn Woo, "Entrepreneurial Information Search", Journal of Business Venturing, 10(2), pp107–120
  • 1997,
    • a. avec Javier Gimeno–Gascon, Timothy B. Folta, Carolyn Y. Woo, "Survival of the Fittest? Entrepreneurial Human Capital and the Persistence of Underperforming Firms", Administrative Science Quarterly, Vol 42, n°4, pp750-783
    • b. avec Mohan Ramachandran, David Schoorman, "Time Allocation Patterns of Craftsmen and Administrative Entrepreneurs: Implications for Financial Performance", Entrepreneurship Theory and Practice, 22(2), pp123–133
    • c. avec Catherine Daily, "Entrepreneurial Teams", In: Donald Sexton, Ray Smilor, dir., "Entrepreneurship: 2000", Boston: PWS–Kent Publishing Company, pp127–150

De 2000 à 2009

  • 2000,
    • a. avec Charlene Nicholls–Nixon, Carolyn Woo, "Strategic Experimentation: Understanding Change and Performance in New Ventures", Journal of Business Venturing, 15(5/6), pp493–521
    • b. avec Timothy Folta, "Entrepreneurship and High–Technology Clusters", In: Donald Sexton, Hans Landstrom, dir., "Handbook of Entrepreneurship", Oxford, UK: Blackwell Publishers, pp348–367
  • 2002, "Networks, Alliances and Entrepreneurship", In: Michael Hitt, Duane Ireland, Michael Camp, Donald Sexton, dir., "Strategic Entrepreneurship: Creating a New Integrated Mindset", Oxford, UK: Blackwell Publishers, pp203–222
  • 2003, "Entrepreneurship: The Past, the Present, the Future", In: Zoltan Acs, David B. Audretsch, dir., "Handbook of Entrepreneurship Research", Dortrecht, Netherlands: Klewer Academic Publishing, pp21–34
  • 2006,
    • a. avec Sharon Alvarez, Alejandro Carrera, Luiz Mesquita, Roberto Vassolo, dir., "Entrepreneurial Strategies", Oxford, UK: Blackwell
    • b. avec Shailendra Mehta, "Preparation for Entrepreneurship – Does it Matter?", Journal of Private Equity, Fall, Vol 9, n°4, pp6–15
    • c. avec Timothy Folta, Yoon–suk Baik, "Geographic Cluster Size and Firm Performance", Journal of Business Venturing, 21(2), pp217–242

Littérature secondaire

  • 2001, Anne M. McCarthy, Charlene L. Nicholls-Nixon, "Fresh starts: Arnold Cooper on entrepreneurship and wealth creation", Academy of Management Perspectives, February, Vol 15, n°1, pp27-34
  • 2015, Hans Landström, Frédéric Le Roy, "Arnold Cooper. La contribution d’A. Cooper à la recherche en entrepreneuriat", In: Karim Messeghem, Olivier Torrès, dir., "Les grands auteurs en entrepreneuriat", Ems Management Et Societes, pp249-270